Svartalfar
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Quête en deux parties où une chasse aux trésors mène à la redécouverte d'un artefact et le redéveloppement du culte de Boéthia. Une partie des dialogues sont déjà réalisés, ils apparaîtront dans la fiche de quête.
A lire : Reive, Maître des lames
Prérequis :
Acte I : le Ciboire du Pacte
Au Cercle de la Craie noire de Vivec, ou autre auberge fréquentée de Suran ou Coeurébène, un vieux Dunmer noie sa lassitude dans l'alcool. Il s'agit de Vaves Giral, lointain parent du patron Raril (ou pas si on le place ailleurs). Vaves a passé plus de trente ans de sa vie à suivre la piste d'un aïeul, Sodres Giral, qui fit l'infortune de sa famille autrefois noble et prospère. Ce Sodres aurait en effet dilapidé la fortune familiale en bondieuseries légitimes, charlatanes voire hérétiques, avant de fuir les représailles en Bordeciel avec ce qui restait du trésor. Sa branche des Giral, ruinés, se serait dispersée par la suite, certains en Bordeciel, d'autres en Cyrodiil et d'autres enfin changeant d'allégeance ou de carrière en Morrowind. Un petit nombre décida de retrouver la trace de Sodres. Vaves est le dernier d'entre eux, et face à des années d'échec et confronté à une quête qui n'intéresse plus ses parents, il n'a plus la force de continuer.
Pourtant, il est celui qui est allé le plus loin, celui qui a failli réussir. Il a en effet retrouvé la trace de son aïeul et de son plus précieux trésor, le Ciboire du pacte, un artefact permettant de négocier avec Boéthia en personne (le seul prix à payer étant son propre sang) ! Mais c'est l'emplacement de la dernière demeure de Sodres qui l'a définitivement décidé à abandonner: Sodres a en effet coulé corps et bien avec le navire sur lequel il voyageait, la Suranaise, quelque part au nord de Solstheim.
C'est à vous de voir quoi faire à présent. Si vous proposez votre aide, une quête longue et frustrante vous attend. Une fois le ciboire en votre possession, vous pouvez le vendre, ce qui clorera la quête mais vous apportera un joli pécule. Si vous le rapportez à Vaves, celui-ci n'en croira pas ses yeux et vous remerciera chaleureusement, vous récompensant d'un modeste talisman et annonçant sa volonté de partir pour le domaine familial, dans l'espoir de le rebâtir. L'avenir en revanche, en décidera autrement.
Acte II : le Maître des Lames
Du temps passe. Vaves a disparu, et son parent Raril n'a pas de nouvelle de lui. Il note toutefois que son comportement avait changé depuis qu'il avait récupéré le Ciboire. Il semblait plus joyeux de prime abord, mais sa joie a laissé la place à une froide détermination. Puis quelques jours plus tard, il a disparu.
Vous retrouvez sa trace à la Pointe de Khartag, bien loin donc du continent. Vaves s'emploie en effet à dresser un autel dédié à Boéthia, argumentant que le Prince lui aurait parlé depuis votre dernière rencontre. Il vous demande d'être indulgent et de le laisser faire. Au bout d'une semaine où Vaves n'a pas perdu son temps, un petit autel et un cabanon se dressent à côté de la statue. Apparemment, Boéthia et lui auraient passé un pacte. Boéthia lui promet argent et renommée et en contrepartie Vaves l'aide à regarnir son culte. C'est là que vous intervenez à nouveau. Vaves veut une démonstration de force à même d'attirer à lui des guerriers prêts à se dévouer au Prince des Complots : il vous demande de lui apporter des ingrédients afin qu'il invoque un de ses lieutenants, Reive le maître des lames. En échange, ledit Reive pourra vous entraîner. Vous servirez tout deux d'exemples pour les futurs vénérateurs.
Quelques daedra tués et dépecés plus tard, vous avez les ingrédients du rituel, et Reive apparaît. Comme promis, il accepte de vous entraîner, mais selon ses propres termes : une séance par jour, avec un type d'arme déterminé à l'avance. Et si c'est à l'épée, Lamedor obligatoirement. Vous pourrez vous taper dessus pendant un temps, jusqu'à ce qu'il arrête la séance (vous gagnez automatiquement un nombre de points dans votre compétence d'arme choisie à déterminer ici. Entre 1 et 5 je dirais).
Avec le temps, trois recrues rejoindront le petit culte, et un temple refera son apparition.
Le but est ici une fin passive et progressive : A chaque entraînement, Reive vous parle, vous transmettant des informations sur le maniement des armes. Au bout de X entraînements, le premier changement arrive. et ainsi de suite, afin que le culte évolue seul, sans votre aide. Vous n'aurez plus rien à faire que de profiter des entraînements et pourquoi pas verser votre sang dans le ciboire en échange d'un buff temporaire (façon autels d'ALMSIVI). la "vraie" fin n'apparaîtra que lorsque Reive n'aura plus rien à vous enseigner. Il retournera alors en Oblivion.
Tout le monde est gagnant : Vaves amasse des sous, les guerriers gagnent des compétenses martiales, et le champion de Boéthia est un maître d'arme digne de Nérévar.
A lire : Reive, Maître des lames
Prérequis :
- avoir fait la quête vanilla de Boéthia
- Avoir Bloodmoon
- Vaves Giral, aventurier dunmer désabusé
- Reive, lieutenant de Boéthia
Acte I : le Ciboire du Pacte
Au Cercle de la Craie noire de Vivec, ou autre auberge fréquentée de Suran ou Coeurébène, un vieux Dunmer noie sa lassitude dans l'alcool. Il s'agit de Vaves Giral, lointain parent du patron Raril (ou pas si on le place ailleurs). Vaves a passé plus de trente ans de sa vie à suivre la piste d'un aïeul, Sodres Giral, qui fit l'infortune de sa famille autrefois noble et prospère. Ce Sodres aurait en effet dilapidé la fortune familiale en bondieuseries légitimes, charlatanes voire hérétiques, avant de fuir les représailles en Bordeciel avec ce qui restait du trésor. Sa branche des Giral, ruinés, se serait dispersée par la suite, certains en Bordeciel, d'autres en Cyrodiil et d'autres enfin changeant d'allégeance ou de carrière en Morrowind. Un petit nombre décida de retrouver la trace de Sodres. Vaves est le dernier d'entre eux, et face à des années d'échec et confronté à une quête qui n'intéresse plus ses parents, il n'a plus la force de continuer.
Pourtant, il est celui qui est allé le plus loin, celui qui a failli réussir. Il a en effet retrouvé la trace de son aïeul et de son plus précieux trésor, le Ciboire du pacte, un artefact permettant de négocier avec Boéthia en personne (le seul prix à payer étant son propre sang) ! Mais c'est l'emplacement de la dernière demeure de Sodres qui l'a définitivement décidé à abandonner: Sodres a en effet coulé corps et bien avec le navire sur lequel il voyageait, la Suranaise, quelque part au nord de Solstheim.
C'est à vous de voir quoi faire à présent. Si vous proposez votre aide, une quête longue et frustrante vous attend. Une fois le ciboire en votre possession, vous pouvez le vendre, ce qui clorera la quête mais vous apportera un joli pécule. Si vous le rapportez à Vaves, celui-ci n'en croira pas ses yeux et vous remerciera chaleureusement, vous récompensant d'un modeste talisman et annonçant sa volonté de partir pour le domaine familial, dans l'espoir de le rebâtir. L'avenir en revanche, en décidera autrement.
Acte II : le Maître des Lames
Du temps passe. Vaves a disparu, et son parent Raril n'a pas de nouvelle de lui. Il note toutefois que son comportement avait changé depuis qu'il avait récupéré le Ciboire. Il semblait plus joyeux de prime abord, mais sa joie a laissé la place à une froide détermination. Puis quelques jours plus tard, il a disparu.
Vous retrouvez sa trace à la Pointe de Khartag, bien loin donc du continent. Vaves s'emploie en effet à dresser un autel dédié à Boéthia, argumentant que le Prince lui aurait parlé depuis votre dernière rencontre. Il vous demande d'être indulgent et de le laisser faire. Au bout d'une semaine où Vaves n'a pas perdu son temps, un petit autel et un cabanon se dressent à côté de la statue. Apparemment, Boéthia et lui auraient passé un pacte. Boéthia lui promet argent et renommée et en contrepartie Vaves l'aide à regarnir son culte. C'est là que vous intervenez à nouveau. Vaves veut une démonstration de force à même d'attirer à lui des guerriers prêts à se dévouer au Prince des Complots : il vous demande de lui apporter des ingrédients afin qu'il invoque un de ses lieutenants, Reive le maître des lames. En échange, ledit Reive pourra vous entraîner. Vous servirez tout deux d'exemples pour les futurs vénérateurs.
Quelques daedra tués et dépecés plus tard, vous avez les ingrédients du rituel, et Reive apparaît. Comme promis, il accepte de vous entraîner, mais selon ses propres termes : une séance par jour, avec un type d'arme déterminé à l'avance. Et si c'est à l'épée, Lamedor obligatoirement. Vous pourrez vous taper dessus pendant un temps, jusqu'à ce qu'il arrête la séance (vous gagnez automatiquement un nombre de points dans votre compétence d'arme choisie à déterminer ici. Entre 1 et 5 je dirais).
Avec le temps, trois recrues rejoindront le petit culte, et un temple refera son apparition.
Le but est ici une fin passive et progressive : A chaque entraînement, Reive vous parle, vous transmettant des informations sur le maniement des armes. Au bout de X entraînements, le premier changement arrive. et ainsi de suite, afin que le culte évolue seul, sans votre aide. Vous n'aurez plus rien à faire que de profiter des entraînements et pourquoi pas verser votre sang dans le ciboire en échange d'un buff temporaire (façon autels d'ALMSIVI). la "vraie" fin n'apparaîtra que lorsque Reive n'aura plus rien à vous enseigner. Il retournera alors en Oblivion.
Tout le monde est gagnant : Vaves amasse des sous, les guerriers gagnent des compétenses martiales, et le champion de Boéthia est un maître d'arme digne de Nérévar.